QCM Sclérose En Plaque
1Quels sont parmi les examens paracliniques suivant, ceux qui fournissent des
orientations dans le cadre de la sclérose en plaques ?
1.1La ponction lombairev
1.2La radiographie du crâne standard
1.3Les potentiels évoqués auditifs
1.4Le doppler cervical
1.5Les potentiels évoqués visuelsv
1.6L'étude du champ visuelv2A propos de la SEP,
2 propositions sont inexactes. Lesquelles ?
2.1La névrite optique rétrobulbaire est souvent symétrique
2.2L'euphorie est un signe d'évolution tardivev
2.3La diplopie est un signe souvent révélateurv
2.4La névralgie du trijumeau est caractéristique
2.5La protéinorachie est supérieure à 1 g/l
2.6La névralgie du trijumeau n'est pas fréquentev
3A propos de la SEP, 1 proposition est inexacte. Laquelle ?
3.1La SEP est rare en zone inter-tropicalev
3.2Les troubles occulo-moteurs sont rarissimes
3.3La première poussée ne survient jamais après 50 ans
3.4Une hyperlymphocytose modérée sans hyperprotéinorachie est très peu révélatrice
4Au cours de la SEP, quel(s) sont le(s) symptome(s)s rarement observé(s) ?
4.1Diplopie
4.2Toubles de la sensibilité profondev
4.3Surdité unilatérale
4.4Syndrome cérébelleuxv
4.5Hémianopsie latérale homonyme
5Le traitement de la SEP par les corticoïdes
5.1Est capable de prévenir les récidives
5.2Ne doit jamais être mis en oeuvre
5.3Peut comporter des doses massives de manière transitoirev
5.4Doit être continué en permanence5.5Doit être prescrit en raison des pousséesv
6Un sujet de 30 ans se plaint depuis 15 jours d'une difficulté à manger, parler et siffler. On
remarque une parésie bilatérale dans le territoire du facial, un signe de Charles Bell bilatéral
et une aréflexie des 4 mb sans trouble sensitivo-moteur. Diag ?
6.1Un syndrome de Guillain-Barrév
6.2Une S.E.P.
6.3Une rhombencéphalite virale
6.4Une périartérite noueuse
6.5Une neurosyphilis
7Chez un jeune patient suspect de SEP, l'examen montre un syndrome pyramidal des 4 mb, un
syndrome cérébelleux, un nystagmus et une diplopie. Ce tableau permet d'éliminer un diagnostic
différenteil de la SEP. Lequel ?
7.1Compression de la moelle cervicale. v
7.2Malformation de la charnière cervico-occipitale
7.3Hérédodégénération spino-cérébelleuse
7.4Malformation angiomateuse du tronc cérébral
7.5Tumeur de la fosse postérieure
8Le signe de Lhermitte s'observe au cours de
8.1Syndrome de Guillain-Barré
8.2Sclérose en plaques. v
8.3Myélopathie cervicarthrosique. v
8.4Sclérose latérale amyotrophique
8.5Maladie de Parkinson
9Parmi les symptomes suivants, quels sont les 3 qui par leur fréquence, ont une valeur dans le
diagnostic de SEP ?
9.1Névrite optique rétro-bulbaire. v
9.2Omphtalmoplégie internucléaire. v
9.3Hypertonie extra-pyramydale
9.4Paraparésie spasmodique. v
9.5Hypoacousie unilatérale
10Aucours de la SEP, les potentiels évoqués visuels
10.1Apportent un argument pronostique
10.2Sont symétriques
10.3Permettent d'ajuster la thérapeutique
10.4Leur altération traduit l'existence de plaques périventriculaires postérieures
10.5Peuvent être anormaux en l'absence de phénomène visuel clinique. v
11Une multinévrite peut apparaître au cours de
11.1Sclérose latérale amyotrophique
11.2Sclérose en plaques
11.3Lèprev11.4Diabète. v
11.5Périartérite noueuse. v
12Le LCR d'un patient atteint d'une SEP comporte typiquement
12.1Une protéinorachie supérieure à 1 g/l. v
12.2Une hypoglycorachie
12.3Une hypercytose lymphocytaire discrète
12.4Une polynucléose
12.5Une distribution oligo-clonale du profil électrophorétique des protéines. v
13Dans la sclérose en plaques
13.1La vitesse de sédimentation globulaire est habituellement augmentée
13.2Le traitement repose sur la corticothérapie au long cours
13.3L'augmentation des gamma-globulines dans le LCR s'accompagne d'une distribution oligo-
clonale. v
13.4Une hémianopsie latérale homonyme est souvent constatée
13.5Il peut exister des troubles sphinctériens. v
14Au cours de la sclérose en plaques on peut retrouver:
14.1Un syndrome du canal carpien
14.2Une impuisance. v
14.3Des paresthésies constrictives. v
14.4Un signe de Lhermitte. v
14.5Une ophtalmoplégie inter-nucléaire. v
15La sclérose en plaques est caractérisée par
15.1La visualisation quasi-constante des plaques récentes au Scanner X après inection de produit
de contraste
15.2La normalité habituelle de l'IRM
15.3La majoration des symptomes par la chaleur. v
15.4Une hyper-gamma-globulinorachie oligo-clonale
15.5Une augmentation de l'amplitude des potentiels évoqués visuels. v
16Parmi les formules de liquide céphalorachidien suivantes, 2 sont compatibles avec le diagnostic
de SEP. Lesquelles ?
16.1Protéines 0,60 g/l; 90 polynucléaires/mm3
16.2Protéines 0,30 g/l et cytologie nulle. v
16.3Protéines 1,80 g/l et cytologie nulle
16.4Protéines 0,80 g/l et 500 lymphocytes /mm3
16.5Protéines 0,30 g/l et 15 lymphocytes /mm3. v
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