Les principales maladies bactériennes du lapin :
revue biblographique de l'utilisation des molécules antibactériennes; importance de leur innocuité.
Autrefois uniquement élevé pour sa chair et sa fourrure, le Lapin Européen (Oryctolagus cuniculus) représente désormais à l’heure actuelle un intérêt croissant comme animal de compagnie de la part du grand public pour lequel il s’inscrit dans les N.A.C. (Nouveaux Animaux de Compagnie), mais aussi comme animal de laboratoire pour la recherche médicale, pharmaceutique et cosmétologique.
Les maladies bactériennes, décrites dans l’exposé, représentent un motif de consultation très fréquent chez le lapin, aussi bien d’élevage que de compagnie. Cependant, les traitements de ces affections, principalement à base d’antibiotiques, présentent des risques indéniables et parfois considérables pour la santé de l’animal. En effet, cette espèce étant très sensible à toute modification de sa microflore digestive, l’emploi d’antibiotiques qui agissent sur le microbisme intestinal de cet animal peut ainsi aboutir à des entérotoxémies à l’issue souvent fatale.
Ainsi, les marges de sécurité de toute antibiothérapie restent faibles chez le Lapin, l’usage d’antibiotiques n’étant pas sans risques de provoquer, en plus de leurs effets toxiques connus, des effets indésirables parfois mortels.
Cependant, après recensement de toutes les données bibliographiques, on s’aperçoit que l’on dispose d’un arsenal thérapeutique de moins en moins réduit, même si le vétérinaire est souvent contraint de prescrire un antibiotique hors A.M.M. et dispose de présentations médicamenteuses difficilement adaptables à ces animaux.
revue biblographique de l'utilisation des molécules antibactériennes; importance de leur innocuité.
Autrefois uniquement élevé pour sa chair et sa fourrure, le Lapin Européen (Oryctolagus cuniculus) représente désormais à l’heure actuelle un intérêt croissant comme animal de compagnie de la part du grand public pour lequel il s’inscrit dans les N.A.C. (Nouveaux Animaux de Compagnie), mais aussi comme animal de laboratoire pour la recherche médicale, pharmaceutique et cosmétologique.
Les maladies bactériennes, décrites dans l’exposé, représentent un motif de consultation très fréquent chez le lapin, aussi bien d’élevage que de compagnie. Cependant, les traitements de ces affections, principalement à base d’antibiotiques, présentent des risques indéniables et parfois considérables pour la santé de l’animal. En effet, cette espèce étant très sensible à toute modification de sa microflore digestive, l’emploi d’antibiotiques qui agissent sur le microbisme intestinal de cet animal peut ainsi aboutir à des entérotoxémies à l’issue souvent fatale.
Ainsi, les marges de sécurité de toute antibiothérapie restent faibles chez le Lapin, l’usage d’antibiotiques n’étant pas sans risques de provoquer, en plus de leurs effets toxiques connus, des effets indésirables parfois mortels.
Cependant, après recensement de toutes les données bibliographiques, on s’aperçoit que l’on dispose d’un arsenal thérapeutique de moins en moins réduit, même si le vétérinaire est souvent contraint de prescrire un antibiotique hors A.M.M. et dispose de présentations médicamenteuses difficilement adaptables à ces animaux.
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